jeudi 24 février 2011
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'patapouf
mardi 22 février 2011
Le vrai dessin de Lewis Trondheim
Sur le site de soutien aux salariés de L'Association, Lewis Trondheim lance les enchères... qui dit mieux ?
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'patapouf
lundi 21 février 2011
vendredi 18 février 2011
Actua-Bidet ou la pluralité de l'info...
"Il n’y a aucun lien entre la rédactionnel et la pub. Aucun." (Pasamonuffle, dans les commentaires de l'article sur Sandawe , nous laissons volontairement la faute d'orthographe qui est une sorte d'aveu de collusion des deux genres)
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'patapouf
Le Tigre, ça déchire !
Dans le numéro 3, mars 2011, vous lirez entre autres le récit de la candidature de Raphaël Meltz à la direction du Monde. Grand moment tigré.
Le Tigre, le dernier journal qui se lit avec passion.
Le Tigre, le dernier journal qui se lit avec passion.
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publi-information
lundi 14 février 2011
vendredi 11 février 2011
mardi 8 février 2011
La lumière jaillit de nos prières
Voici la réponse de notre grand jeu mystique. Notre confrère Actua-Bidet , plongé dans les pénombres de l'obscurantisme le plus grossier, ne pouvait accueillir la douce et délicate lueur issue de l'esprit saint. Heureusement, grâce au miracle de la foi, nous l'avons captée et vous la révélons. Voyez comme elle irradie les visages des fidèles, et combien l'allégresse illumine la figure de Grospatapouf !
On peut lire ci-dessus que notre confrère d'Actua-Bidet avait bien perçu quelque chose de la ferveur des disciples sans toutefois en comprendre la teneur. Il est probable que, rendu aveugle par son appareil-photo, et sourd à toute parole sacrée, il n'ait rien saisi de l'événement qui se déroulait sous ses yeux. C'est sans doute les limites du journalisme d'actualité.
Mais, puisque c'est le jour des révélations, nous vous livrons ci-dessous un extrait de ce moment de dévotion.
Prière à notre Menu Quotidien
Saint Menu Associé
Que ton règne vienne
Que ton nom soit sanctifié dans le temple de la Sorbonne
Que ta volonté soit faite contre le microcosme
Donne-nous aujourd'hui notre Bande Dessinée d'Avant-Garde
Pardonne-nous nos errances
Comme nous pardonnons aussi
A ceux qui errent dans le mainstream
Et ne nous soumets pas à la vile bédé commerciale
Mais délivre-nous du mal
Et de la récupération
Amen(u)
On peut lire ci-dessus que notre confrère d'Actua-Bidet avait bien perçu quelque chose de la ferveur des disciples sans toutefois en comprendre la teneur. Il est probable que, rendu aveugle par son appareil-photo, et sourd à toute parole sacrée, il n'ait rien saisi de l'événement qui se déroulait sous ses yeux. C'est sans doute les limites du journalisme d'actualité.
Mais, puisque c'est le jour des révélations, nous vous livrons ci-dessous un extrait de ce moment de dévotion.
Prière à notre Menu Quotidien
Saint Menu Associé
Que ton règne vienne
Que ton nom soit sanctifié dans le temple de la Sorbonne
Que ta volonté soit faite contre le microcosme
Donne-nous aujourd'hui notre Bande Dessinée d'Avant-Garde
Pardonne-nous nos errances
Comme nous pardonnons aussi
A ceux qui errent dans le mainstream
Et ne nous soumets pas à la vile bédé commerciale
Mais délivre-nous du mal
Et de la récupération
Amen(u)
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lundi 7 février 2011
Jeu ! Où est Grospatapouf ?
Parmi les disciples entourant religieusement la figure du Messie Jean-Christophe Menu, on peut distinguer Grospatapouf, sur cette photo de notre cher confrère Actua-bidet. Le journaliste a su capter en arrière plan le visage de votre serviteur empreint d'adoration mystique. Saurez-vous le reconnaître ?
Le premier qui trouve gagne un exemplaire de la revue Comix Club n°1 à 9, au choix.
Le premier qui trouve gagne un exemplaire de la revue Comix Club n°1 à 9, au choix.
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jeudi 3 février 2011
Le blues de l'édition indépendante (2) : Angoulême 2011
Comme l'avait annoncé notre confrère Actua-Bidet dans son courageux article , l'éditon indépendante est dans une sacrée mauvaise passe en ce début d'année. On a pu le constater le week-end dernier à l'occasion du festival d'Angoulême. Tandis qu'au Champ de Mars un public enthousiaste se pressait sur les stands des grosses maisons d'édition, les quelques visiteurs qui s'aventuraient dans la bulle New York à la rencontre des éditeurs indépendants étaient accueillis par un drôle de spectacle :
Cette première impression était confirmée par la suite de la visite :
Ces stands déserts, dévastés donnaient au spectateur éberlué la vision saisissante de la véritable situation de la bande dessinée indépendante. Il fallait alors s'assurer en revenant plusieurs fois pendant le séjour... par exemple ici, le stand PLG vendredi matin :
Le même stand samedi après-midi :
Non, il faut se rendre à l'évidence, la crise a frappé de plein fouet ce secteur et la dite "avant-garde" a sombré dans un marasme dont elle peine à se relever. Elle paie là le lourd tribut de son positionnement marketing.
Moribonde, elle semble même avoir perdu toute identité, comme en témoigne ces stands vides et sans nom...
Ici deux bouteilles témoignent qu'une vie a existé...
... tandis que là un survivant s'occupe comme il peut, au milieu des cartons d'invendus, et loin de la foule indifférente :
On ne tarde pas à deviner ce qui s'est réellement passé, à la vue d'une pancarte éloquente... C'est le sauve qui peut !
Déçus, nous sommes sortis aussi, espérant rencontrer dehors quelques résistants combattant en plein air... Las ! une boutique délabrée et laissée à l'abandon n'a fait que confirmer l'écroulement général :
Nous nous sommes pincés pour nous réveiller, mais non ! C'est la vérité ! Pasamonuffle avait raison !
Cette première impression était confirmée par la suite de la visite :
Ces stands déserts, dévastés donnaient au spectateur éberlué la vision saisissante de la véritable situation de la bande dessinée indépendante. Il fallait alors s'assurer en revenant plusieurs fois pendant le séjour... par exemple ici, le stand PLG vendredi matin :
Le même stand samedi après-midi :
Non, il faut se rendre à l'évidence, la crise a frappé de plein fouet ce secteur et la dite "avant-garde" a sombré dans un marasme dont elle peine à se relever. Elle paie là le lourd tribut de son positionnement marketing.
Moribonde, elle semble même avoir perdu toute identité, comme en témoigne ces stands vides et sans nom...
Ici deux bouteilles témoignent qu'une vie a existé...
... tandis que là un survivant s'occupe comme il peut, au milieu des cartons d'invendus, et loin de la foule indifférente :
On ne tarde pas à deviner ce qui s'est réellement passé, à la vue d'une pancarte éloquente... C'est le sauve qui peut !
Déçus, nous sommes sortis aussi, espérant rencontrer dehors quelques résistants combattant en plein air... Las ! une boutique délabrée et laissée à l'abandon n'a fait que confirmer l'écroulement général :
Nous nous sommes pincés pour nous réveiller, mais non ! C'est la vérité ! Pasamonuffle avait raison !
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