Sylvain Bouët nait dans le Pas de Calais, et passe une enfance solitaire et nauséeuse couvé par une mère possessive, et moqué de ses camarades qui le surnomment “Bouët rave” à cause de son teint légèrement rosé. Son père, passionné de tuning, l’emmène tous les week-ends dans les rassemblements et les concours automobiles, expérience primale qui est sans nul doute à l’origine de sa fascination pour la mécanique, les graisses et les huiles moteur. Son œuvre nait vraiment quand il fait la découverte à 13 ans du Grindcore et de la photocopieuse de son oncle Jean-Philippe, garagiste à Ablain-Saint-Nazaire. Dès lors, il publie son fanzine “Motul et Bouche goulue” dans lequel il créera une première version de l’album que nous vous présenterons bientôt, Trash Tune and The Bikini Muff.
8 commentaires:
... je crois qu'on dit "gringcore" ;-))
Allons bon... le communiqué de KASS est lui aussi bourré d'erreurs.
Et puisqu'on en est à parler de bagnoles, avez-vous vu que Jean Graton se lance dans le petit format N&B en publiant le mois dernier ( chez Graton éditeur donc ) " la suite indienne " de je sais plus qui. Rien qu'en feuilletant, on sent l'huile de moteur chaude.
Zut, en fait c'était grindcore !!
On va y arriver hein !
Cet auteur sera-t'il la Bouët sauvetage de KSTR, que certains appellent déja la "Bouët ê con"
Pourquoi pas groingecore ?
j'me languis de voir des extraits!
Ça ne surfe pas trop sur le retour des années 80 ?
Enregistrer un commentaire