mais enfin! Que tu aimes Jean Christophe Menu, c'est ton droit le plus légitime. Mais tu ne trouves pas ça un peu moche d'attaquer sciemment et systématiquement les salariés de l'Association? Tu te bats pour quoi exactement? Pour le droit à licencier sans cause? Pour un type qui dit "je ne suis pas un patron et ne le serai jamais" la semaine où il vire son petit personnel?Tu vois bien que tes interventions sur ce sujet ne sont ni drôles, ni décalées ni rien, c'est juste plein de morgue, de raillerie. Vas-y, explique nous ce que tu attends des employés de l'Association! Tu voudrais qu'ils se laissent fiche dehors en silence? Qu'est ce qui te rend si militant, dans cette histoire, Gros Ben? Tu as le sentiment d'enfin exister dans l'histoire de l'Association? dans l'histoire des bandes dessinées tout court? Puisque de toutes façons tes blagues ne sont pas drôles, vas y, explique nous bien en détail ce que tu voudrais qu'ils fassent, ces salariés dont manifestement tu n'as rien à branler. vas-y! Donne leur une leçon d'avant-garde!
Grospatapouf se cache derrière l'ironie et les commentaires acerbes qui font son talent, mais au fond il est profondément déçu par Menu qui humainement se comporte comme le premier Mourad Boudjelal venu.
Le dessin est drôle. Railleur mais drôle. Hé Patapouf, propose toi comme président de l'asso. Menu veut pas être un "patron", et les autres ils sont occupés. Il y a de la place pour un transfuge non? L'homme providentiel pour sauver la bédé indé? (et sinon c'est scandaleux les comparaisons avec ben ali, ben ali n'était pas intégriste, oh)
Moi, j'aime bien l'humour de Gropatapouf. En plus, il a le courage d'avancer à visage découvert. Ce n'est pas parce qu'on fait une blague sur une situation qu'on prend parti. J'ai hâte de découvrir tes prochaines pages, Benoît. Tu existes dans l'histoire de la bande dessinée.
7 commentaires:
mais enfin! Que tu aimes Jean Christophe Menu, c'est ton droit le plus légitime. Mais tu ne trouves pas ça un peu moche d'attaquer sciemment et systématiquement les salariés de l'Association? Tu te bats pour quoi exactement? Pour le droit à licencier sans cause? Pour un type qui dit "je ne suis pas un patron et ne le serai jamais" la semaine où il vire son petit personnel?Tu vois bien que tes interventions sur ce sujet ne sont ni drôles, ni décalées ni rien, c'est juste plein de morgue, de raillerie. Vas-y, explique nous ce que tu attends des employés de l'Association! Tu voudrais qu'ils se laissent fiche dehors en silence? Qu'est ce qui te rend si militant, dans cette histoire, Gros Ben? Tu as le sentiment d'enfin exister dans l'histoire de l'Association? dans l'histoire des bandes dessinées tout court? Puisque de toutes façons tes blagues ne sont pas drôles, vas y, explique nous bien en détail ce que tu voudrais qu'ils fassent, ces salariés dont manifestement tu n'as rien à branler. vas-y! Donne leur une leçon d'avant-garde!
Grospatapouf se cache derrière l'ironie et les commentaires acerbes qui font son talent, mais au fond il est profondément déçu par Menu qui humainement se comporte comme le premier Mourad Boudjelal venu.
J'avais commencé une réponse mais finalement non, je ne réponds pas aux anonymes qui me tutoient.
Le dessin est drôle. Railleur mais drôle.
Hé Patapouf, propose toi comme président de l'asso. Menu veut pas être un "patron", et les autres ils sont occupés. Il y a de la place pour un transfuge non? L'homme providentiel pour sauver la bédé indé?
(et sinon c'est scandaleux les comparaisons avec ben ali, ben ali n'était pas intégriste, oh)
Si tu veux immerger tous les éditeurs qui ont pas le cul propre, le béton va manquer, Menu est un apprenti enfant de coeur à comparer de certains
Pour payer son avocat (qui doit coûter très cher...) je propose que Menu vende ce dessin de quand il soutenait un autre pauvre licencié
http://www.iconovox.com/blog/wp-content/uploads/2008/12/menu.gif
Moi, j'aime bien l'humour de Gropatapouf.
En plus, il a le courage d'avancer à visage découvert.
Ce n'est pas parce qu'on fait une blague sur une situation qu'on prend parti.
J'ai hâte de découvrir tes prochaines pages, Benoît. Tu existes dans l'histoire de la bande dessinée.
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